Notre planète et à plus petite échelle notre ville font face à des défis environnementaux de plus en plus importants : ils sont liés à nos modes de vie de plus en plus énergivores, l’urbanisation croissante, la globalisation et l’agriculture intensive. L’augmentation de CO2 dans l’atmosphère engendre des changements climatiques irrémédiables aux conséquences tragiques si l’on n’agit pas à partir d’aujourd’hui.
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. Elle n’a jamais été aussi importante, tout particulièrement en milieu urbain. Selon l’OMS, Genève a un taux de particules fines 30% au-delà du seuil de sécurité. Lire plus
. La consommation énergétique des bâtiments à l’aide d’énergies non renouvelables, les transports qui fonctionnent au pétrole, la fabrication des produits, sont responsables d’émissions de CO2 et de particules fines qui accentuent le réchauffement climatique. Lire plus
Avec l’imperméabilisation des surfaces, les températures sont plus élevées en milieu urbain par rapport aux zones rurales ou forestières voisines.
Carte de Genève: plus le territoire est urbanisé, plus les températures sont élevées (sources: GE21, Benjamin Guinaudeau et Landsat 8)
L’imperméabilisation des sols et des toits entraîne des problèmes d’évacuation des eaux et provoque des inondations lors d’épisodes d’orages violents qui sont de plus en plus fréquents avec les changements climatiques.
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L’effondrement de la biodiversité, notamment d’insectes et d’oiseaux en grande partie à cause de l’agriculture intensive aux portes des villes, du bruit et de l’imperméabilisation des surfaces qui empêchent la faune et la flore de trouver le gîte et le couvert. 75% des insectes volants ont disparu sur le territoire allemand (revue Plos One, 2017) et 30% des oiseaux des campagnes françaises ont disparu en 15 ans (Selon deux étude du CNRS et du musée nationale d’histoire naturelle).
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Les villes sont en grande partie dépendantes pour s’alimenter des importations et de l’agriculture intensive. La Suisse importe 78% de denrées alimentaires de plus qu’en 1990 (RTS info, article du 12 décembre 2017), contribuant à l’épuisement des ressources naturelles mondiales et générant encore plus de CO2.
